Faits divers 2025-08-28 Vues 135 fois
ZASSO PATRICK : ce sont les VDP du Burkina Faso qui attaquent la frontière de la Côte d'Ivoire
ZASSO PATRICK : ce sont les VDP du Burkina Faso qui attaquent la frontière de la Côte d'Ivoire
Attaque meurtrière à la frontière nord-est de la Côte d’Ivoire
Dans la nuit du dimanche 24 au lundi 25 août 2025, aux environs de 2h du matin, une attaque armée a visé le hameau agricole de Difita, situé à environ 2 km de la frontière avec le Burkina Faso, dans le département de Téhini (région de Bouna).
Le bilan provisoire fait état de :
4 paysans tués,1 personne portée disparue,1 femme grièvement brûlée, actuellement prise en charge par les services médicaux, plusieurs cases incendiées,du bétail volé,des moyens de locomotion détruits, incendiés ou emportés.
Selon l’État-major général des armées, des moyens aériens et terrestres ont été rapidement mobilisés pour sécuriser la population et poursuivre les assaillants, mais ces derniers avaient déjà pris la fuite avant l’arrivée des troupes.
Parallèlement, le militant politique Zasso, proche du RHDP, a réagi sur sa page Facebook. Dans sa déclaration, il attribue la responsabilité de cette attaque à des éléments identifiés comme faisant partie des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) du Burkina Faso.
Il écrit notamment :
« Nous dénonçons avec la plus grande fermeté les attaques répétées qui visent nos frontières, en particulier dans la zone de Téhini, au Nord de notre pays. Ces agressions, menées par des groupes armés, dont des éléments identifiés comme les Volontaires pour la Défense de la Patrie (#VDP) du Burkina Faso, ont causé la mort d’innocents et troublé la paix de nos populations.
Ces violences, parfois encouragées ou instrumentalisées, sèment la terreur et menacent la stabilité de nos régions frontalières. La Côte d’Ivoire ne tolérera jamais que ses enfants soient pillés, volés ou tués.
Nous appelons chaque partie prenante, y compris les autorités du Burkina Faso, à prendre leurs responsabilités devant l’histoire et devant leurs peuples.
La paix, la sécurité et la dignité des Ivoiriens ne se négocient pas.
