Faits divers 2025-11-07 Vues 530 fois
OsHolé Gbewa, le fétiche qui te rend riche, avec des conséquences très graves
OsHolé Gbewa, le fétiche qui te rend riche, avec des conséquences très graves
Le Osholé Gbewa, également appelé Osolé Gbewa, est un rituel mystique d’origine yoruba, réputé pour attirer la prospérité matérielle et la richesse soudaine. C’est une pratique ancienne et profondément spirituelle, souvent transmise par des initiés dans les traditions ésotériques du peuple yoruba, principalement au Nigeria et dans certaines régions du Bénin et du Togo. Ce rituel est considéré comme l’un des plus puissants fétiches de prospérité, mais aussi l’un des plus dangereux à exécuter.
Le principe du Osholé Gbewa repose sur une invocation d’esprit liée à la fortune. Pour le réaliser, le pratiquant doit préparer un savon mystique et une éponge toute neuve, spécialement consacrés lors d’un rituel. Ces objets servent de lien entre le monde matériel et le monde spirituel. Selon la tradition, le bain doit être pris entre minuit et trois heures du matin — des heures considérées comme appartenant au royaume des esprits, où la frontière entre les deux mondes est la plus fine.
Pendant le bain, des incantations spécifiques sont récitées pour appeler l’esprit de la richesse. Une fois le rituel accompli, il est strictement interdit de fermer la porte de la chambre. Cette étape est cruciale, car c’est par cette ouverture que l’esprit de la prospérité se manifeste. Selon les témoignages rapportés par certains maîtres spirituels, un esprit apparaît alors sous une forme humaine, portant une valise remplie de billets de banque. Le pratiquant reçoit la valise et remet en échange le savon et l’éponge à l’entité. Dès cet instant, la personne est bénie d’une abondance financière extraordinaire — tout ce qu’elle entreprend prospère, et la chance semble la suivre dans tous les domaines.
Cependant, le Osholé Gbewa est redouté pour ses conséquences. Comme l’enseignent les maîtres spirituels tels que Borel et le baron Stella, cette richesse n’est jamais gratuite. L’esprit qui accorde la fortune réclame un prix en retour, souvent sous forme de vie humaine. Il peut s’agir de la mort du pratiquant lui-même, de celle d’un membre proche de sa famille, ou d’un malheur frappant ses descendants. Le moment où la rétribution s’accomplit est imprévisible — cela peut survenir quelques jours, mois ou années plus tard. Nul ne peut échapper à cette dette spirituelle une fois le pacte conclu.
Selon les traditions yoruba, le Osholé Gbewa ne doit jamais être pratiqué par des jeunes, ni par des personnes non initiées. Il est réservé à ceux qui ont été préparés spirituellement à affronter les forces invisibles qu’il invoque. Les anciens insistent sur le fait que partager les secrets de ce rituel sur les réseaux sociaux ou en dehors des cercles initiatiques constitue une profanation grave, car il s’agit d’un savoir sacré. Ceux qui le pratiquent sans autorisation risquent de réveiller des forces destructrices qu’ils ne peuvent maîtriser.
En définitive, le Osholé Gbewa illustre la philosophie yoruba selon laquelle chaque don des esprits comporte un prix. C’est une voie périlleuse vers la prospérité, où le succès matériel s’échange contre une dette spirituelle fatale. Ceux qui connaissent la puissance de ce rituel rappellent toujours la même leçon : il vaut mieux bâtir sa richesse par le travail et la patience que de chercher les raccourcis de l’invisible, car les esprits ne donnent jamais sans reprendre.
